Third Age : le Seigneur des Anneaux RPG
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 MAENAS Ô TAMÌN (L'ART DE LA FORGE)

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AuteurMessage
Gandalf le Gris
Second de l'Ordre des Istari et Gardien de l'Anneau Elfique Narya

Gandalf le Gris


Masculin

A atterri en TdM le : : 25/11/2009
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| ROYAUME : : Terre du Milieu
| AGE : : Plus vieux qu'Arda elle-même
| RACE : : Ainur
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| INVENTAIRE : :
- Manteau gris de pèlerin
- Haut chapeau pointu
- Glamdring, épée elfique du roi Turgon
- Bâton de Magicien Gris
- Narya, l'Anneau de Feu
| LEGIONS : : - aucunes -


Mémo
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MessageSujet: MAENAS Ô TAMÌN (L'ART DE LA FORGE)   MAENAS Ô TAMÌN (L'ART DE LA FORGE) Icon_minitimeDim 14 Mar - 12:31

MAENAS Ô TAMÌN


    La forge est sans nul doute l’art le plus pratiqué en Arda, tant au pays d’Aman qu’en Terre du Milieu, et celui dont les origines remontent avant même l’avènement des Eldar et des Edain. C’était le Vala Aulë qui le premier l’avait pratiqué, car de son temps où il n’était pas encore question d’Arda, ses pensées s’étaient tournées sur les métaux et les joyaux de la Montagne que la sphère de vision d’Ilúvatar lui avait permit de contempler ; si bien qu’Arda créée, son dessein fût d’imaginer le travail de ces si précieuses et si somptueuses richesses que recelaient les profondeurs de la terre. Il était sans conteste le plus grand forgeron au Monde, ses œuvres étaient emplies de son pouvoir et de ses connaissances, et il créa des choses qui durent être cachées, car les Enfants d’Ilúvatar ne devraient jamais voir de tels objets, non plus que Melkor, qui s’était proclamé l’ennemi du Roi des Rois, car en eux germeraient alors une graine maléfique que même le Prince de la Nuit n’aurait pu faire germer avec tant de machiavélisme ; jamais il ne fût question des œuvres d’Aulë, et on ne su jamais rien d’elle, ni si elles existaient ni où elles étaient cachées. Les Valar avaient dû prendre de grandes précautions sans doute, et on songea même à ce qu’elles avaient été envoyées au-delà des cercles du Monde. Mais Aulë lui aussi était orgueilleux, mais un orgueil bien moins démesuré que ne l’était celui de Melkor. Il voulu partager son savoir, avoir ses propres élèves, sa propre progéniture, comme Ilúvatar l’avait ; aussi façonna-t-il les Nains, qui au terme de longues discussions naquirent dans la Montagne grâce au Tout Puissant qui leur avait insufflé la vie. Alors l’art de la forge se rependit parmi ses peuplades naniques, qui devinrent à leur tour les plus forgerons d’Arda, mais ce jusqu’à ce que Fëanor n’eut crée les Silmarilli, car à l’instar de la majorité de son peuple, lors de son arrivée en Aman, il avait étudié aux côtés du Vala Forgeron dans ses demeures souterraines près du Taniquentil. Jamais une œuvre qui n’était pas d’Aulë ne fût aussi belle, si puissante… Et si dangereuse, pas même Narsil qui vainquit Sauron. De ces Silmarilli ressortirent un très grand mal, que les Valar avaient craint qu’il n’advienne lorsqu’ils avaient cachés les créations d’Aulë. De grandes guerres éclatèrent, et l’art de la forge devint encore plus présent parmi les peuples d’Arda. On forgea des armes, de toutes sortes, pour tuer… Cet art si pur devint tout ce qu’Aulë avait abhorré : celui de la violence. On travailla les métaux pour des fins mauvaises, mais qui en fin de compte permirent tout de même à vaincre l’Ennemi de Toutes Vies.
    Bien des millénaires plus tard, l’art de la forge est bel et bien toujours présent, principalement parmi les Nains de la Montagne, qui façonne toujours de splendides objets, tel que l’Arkenstone. Les Nains sont à ce jour les plus doués forgerons qui puissent encore faire perdurer la grandeur de cet art de jadis, bien que les seigneurs Noldor, s’ils se réunissent et mettent à profit les enseignements qu’on leur à prodiguer à Valinor, peuvent encore faire de grandes choses, mais il n’en reste que peu en cette époque qui n’en connaisse que le simple marteau de confection…
    Mais il reste deux exceptions : Saroumane et Sauron… Ils furent tous les deux Maiar au service d’Aulë. Leurs connaissances dans cet art est sans limite, presque aussi grand que celui de leur propre maître (en tous cas, Sauron, lui, l’est bel et bien, mais sans l’Anneau Unique, il rejoint le même rang que Saroumane).


    Sur Third Age, il sera bien entendu possible de créer ses propres œuvres. Mais le choix et la puissance de cette œuvre variera selon certains critères, ainsi un Orque du Mordor ne pourra façonner une épée comme un Homme le fait, tandis que ce dernier ne pourra jamais créer des artefacts aussi redoutables que sont ceux des Nains et des Noldor. Chaque race et chaque peuple à sa propre « limitation » quant à la « puissance » des créations qu’ils peuvent fournirent.
    Il sera demandé, pour la création de cet objet, de fournir un certains nombre de lignes, qui sera proportionnel à la puissance désirée pour l’objet, qui décrira la forge de cet artefact. Plus le nombre de lignes sera élevé, plus l’objet que vous créerez sera d’une grande puissance. Cependant, même si vous êtes totalement déterminé, mais que vous incarnez un Humain, vous ne pourrez franchir le cap de la cinquantaine de lignes, contrairement au joueur qui incarne un Nain, car ces deux races ont des aptitudes totalement différentes dans l’art de la forge.


Rappel de la limitation


    ORQUES, GOBELINS, OUROUK’HAÏ, DUNLENDING, HARADRIMS, VARIAGS, ORIENTAUX, HOBBITS, BÉORNIDES, NORTHMEN, DRÙEDAIN -> 20L
    GONDORIENS, ROHIRRIMS, ARNORIENS, SINDAR, NANDOR -> 50L
    FALATHRIM, BARDIDES, DÚNEDAIN, NOLDOR -> 75L
    NAINS -> 125L


Exception de la règle

    GRANDS SEIGNEURS NOLDOR APPUYÉ D’UN ISTAR, SEIGNEURS NAINS -> 200L*
    SAROUMANE L’ISTAR, SAURON LE NOIR -> 250L*


Légende


    20L : un artefact de faible qualité, ni plus ni moins qu’un simple objet personnalisé pour le héros sans aptitudes magiques.
    50L : bien que meilleur que l’artefact à 20 lignes, celui à 50 lignes ne possèdent cependant aucun attributs magiques.
    75L : ces objets sont plus puissants. Ils sont souvent crées par des forgerons aguerris, mais qui pourtant ne peuvent les insuffler d’aucune magie.
    125L : les Nains qui les façonnent réussissent à y implanter une grande puissance, qui peut parfois faire chavirer les cœurs par le désir cupide qu’est celui des Enfants d’Ilúvatar. Les bijoux offrent du charisme, les lames sont bien plus tranchantes que la normale, les marteaux plus destructeurs, etc.
    200L* : ces objets sont les artefacts les plus redoutable du « Bien ». Forgés par de puissants Noldor et supervisés par un Istar, soit crées par un grand seigneur nain, ces artefacts peuvent atteindre des puissances démesurées. Le charisme qu’ils offrent peut faire fuir bien des bataillons mêmes armés. Mais ces objets sont forgées exceptionnellement, ainsi y aura-t-il une limite dans la création de ces objets.
    250L* : ces objets forment l’art de la forge à son paroxysme. Des anneaux mineurs, des armes destructrices, etc. les composent. Mais seul Sauron et Saroumane en n’ont la capacité.
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